Un nouveau regard sur l’adaptation chronique à l’altitude chez les Népalais ? Étude comparative de deux ethnies népalaises.
Details
Under indefinite embargo.
UNIL restricted access
State: Public
Version: After imprimatur
License: Not specified
UNIL restricted access
State: Public
Version: After imprimatur
License: Not specified
Serval ID
serval:BIB_B58C161A6065
Type
A Master's thesis.
Publication sub-type
Master (thesis) (master)
Collection
Publications
Institution
Title
Un nouveau regard sur l’adaptation chronique à l’altitude chez les Népalais ? Étude comparative de deux ethnies népalaises.
Director(s)
SARTORI C.
Institution details
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Publication state
Accepted
Issued date
2021
Language
french
Number of pages
30
Abstract
La présence de vie humaine en haute altitude a d’abord été réservée aux populations autochtones et aux pèlerinages. Elle ne s’est ouverte aux explorateurs étrangers et au tourisme qu’il y a quelques centaines d’années. L’accès facilité permet actuellement à des centaines de millions de personnes d’aller en haute altitude chaque année.
Avec l’altitude, la concentration en oxygène de l’air reste constante (21 %) mais la pression atmosphérique diminue. A 5'500 mètres, la pression atmosphérique est diminuée de moitié par rapport au niveau de la mer. Ceci a pour conséquence une baisse de la pression partielle d’oxygène inspiré (hypoxie) et une baisse de la saturation artérielle en oxygène (hypoxémie). A partir de 2'500 mètres, la saturation moyenne de la population générale est inférieure à 90%(1). Ce déficit en oxygène lié à l’altitude, appelé hypoxie hypobare, est un défi physiologique pour les organismes fonctionnant en aérobie comme le nôtre(2). Une cascade de mécanismes compensatoires se met alors en place. L'apparition de ces derniers dépendent de la durée de l'exposition à la haute altitude, certains ne s’activeront qu'après plusieurs jours d’hypoxie.
Avec l’altitude, la concentration en oxygène de l’air reste constante (21 %) mais la pression atmosphérique diminue. A 5'500 mètres, la pression atmosphérique est diminuée de moitié par rapport au niveau de la mer. Ceci a pour conséquence une baisse de la pression partielle d’oxygène inspiré (hypoxie) et une baisse de la saturation artérielle en oxygène (hypoxémie). A partir de 2'500 mètres, la saturation moyenne de la population générale est inférieure à 90%(1). Ce déficit en oxygène lié à l’altitude, appelé hypoxie hypobare, est un défi physiologique pour les organismes fonctionnant en aérobie comme le nôtre(2). Une cascade de mécanismes compensatoires se met alors en place. L'apparition de ces derniers dépendent de la durée de l'exposition à la haute altitude, certains ne s’activeront qu'après plusieurs jours d’hypoxie.
Keywords
Altitude, Sherpas, Pupilloscopie, Excitation sympathique
Create date
12/09/2022 10:45
Last modification date
05/10/2023 5:59