L'ombre des cafés parisiens (1682-1852)

Détails

Ressource 1Demande d'une copie Sous embargo indéterminé.
Accès restreint UNIL
Etat: Public
Version: Final published version
Licence: Tous droits réservés
ID Serval
serval:BIB_3C5526272958
Type
Partie de livre
Collection
Publications
Institution
Titre
L'ombre des cafés parisiens (1682-1852)
Titre du livre
Les Lumières de l'ombre : libres penseurs, hérétiques, espions
Auteur⸱e⸱s
Kay Francis
Editeur
Honoré Champion
Lieu d'édition
Paris
ISBN
9782745353467
Statut éditorial
Publié
Date de publication
06/05/2020
Peer-reviewed
Oui
Volume
1
Numéro
0018
Série
Études internationales sur le 18e siècle
Pages
65-89
Langue
français
Résumé
Cet article traite de l’imaginaire des clandestinités parisiennes dans les fictions de café, qui s’inscrit plus précisément dans les marges de la « bohème » : jusqu’aux Scènes de la bohème de Murger, celle-ci demeure en effet une catégorie sociale hybride. Néanmoins, selon Voltaire, par exemple, peu importe qu’il s’agisse des « pauvres diables » de la bohème littéraire, d’escrocs ou d’authentiques filous : à Paris, la « canaille » pratique simplement le « brigandage » sous diverses formes.
Au XVIIIe siècle, dans la capitale du royaume de France, le café est devenu un élément de la topographie urbaine évoquant une mise en abyme de la ville refuge - ou encore, selon l’expression consacrée, un « abrégé » de Paris . Historiquement, le microcosme du café s’oppose à celui du cabaret, associé en France à la mythologie nationale du vin.
Mots-clé
XVIIIe siècle, Littérature française, Paris, Cafés, Fictions, Marginalités urbaines
Création de la notice
02/11/2022 16:52
Dernière modification de la notice
17/01/2023 6:57
Données d'usage