En étant conscients des raisons pour lesquelles les technologies de l’information et de la communication facilitent la criminalité, on peut repenser les cadres juridiques pour diminuer l’intérêt à commettre ces infractions. Sylvain Métille et Pauline Meyer mettent ainsi en lumière les insuffisances du droit pénal, pour mieux s’intéresser aux différents actes législatifs qui garantissent, soit directement, soit de façon détournée, la cybersécurité. Enfin, ces auteurs rappellent qu’au-delà du cadre législatif, l’éducation et la sensibilisation du public contribuent grandement à lutter contre la cybercriminalité.