Living with alien invasives : the political ecology of wattle in the eastern highveld Mpumalanga, South Africa

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Etat: Public
Version: Final published version
ID Serval
serval:BIB_DC050941ACB3
Type
Article: article d'un périodique ou d'un magazine.
Collection
Publications
Titre
Living with alien invasives : the political ecology of wattle in the eastern highveld Mpumalanga, South Africa
Périodique
Études Océan Indien
Auteur⸱e⸱s
Aitken M., Rangan H., Kull Ch. A. 
ISSN-L
2260-7730
Statut éditorial
Publié
Date de publication
2009
Peer-reviewed
Oui
Numéro
42-43
Pages
115-142
Langue
anglais
Notes
Fulltext available at http://oceanindien.revues.org/769
Résumé
Abstract. A number of Australian trees - particularly acacias ('wattles' or 'mimosas') and eucalypts - have been cultivated over large areas of South Africa for the forest industry. They have become quite controversial in recent years for their alleged impacts on water resources and native biodiversity. In post-Apartheid South Africa, government poverty alleviation policies paradoxically engage poor rural blacks to both rip out these water-hungry 'alien invasive' trees while also encouraging people to plant them in small-scale plantations as part of black economic empowerment. This paper investigates how such a paradoxical situation arises and its impacts on specific rural landscapes and livelihoods, using the case of the black wattle (Acacia mearnsii) in the eastern highveld of Mpumalanga province. It traces the development of competing policy discourses (environmental, forest industry, rural livelihoods) and presents a case study of their impacts on local landscapes and livelihoods.
Résumé. Un certain nombre d'arbres australiens - en particulier acacias et eucalyptus - ont été cultivés dans de vastes zones de l'Afrique du Sud pour l'industrie forestière. Au cours des dernières années, ces plantations ont été beaucoup discutées en raison de leur impact supposé sur les ressources en eau et sur la biodiversité autochtone. Dans l'ère post-apartheid, les politiques gouvernementales de lutte contre la pauvreté ont de manière paradoxale poussé les Noirs pauvres des zones rurales à se livrer à la fois à l'arrachage de ces arbres exotiques envahissants avides d'eau, tout en encourageant les gens à les planter dans de petites plantations dans le cadre de programmes d'émancipation économique de ces mêmes Noirs. Cet article étudie comment une telle situation paradoxale s'est mise en place, et quels sont ses impacts sur les paysages ruraux comme sur les moyens de subsistance campagnards en utilisant le cas de l'acacia noir (Acacia mearnsii De Wild.), dans le highveld de l'est de la province de Mpumalanga. Il retrace l'évolution de discours stratégiques entrant en concurrence les uns avec les autres (environnementaux, industriels forestiers, économiques paysans) et présente une étude de cas de leurs impacts sur les paysages locaux et sur les moyens de subsistance des populations locales.
Mots-clé
acacia, invasive - introduced - alien - exotic - non native species, livelihoods, South Africa
Création de la notice
11/03/2015 17:58
Dernière modification de la notice
20/08/2019 17:00
Données d'usage