Impact of the post-traumatic stress linked to domestic violence on parenting: Empirical data and clinical applications,Impact du stress post-traumatique lié à la violence domestique sur la parentalité : Données empiriques et applications cliniques

Détails

Ressource 1Télécharger: Rusconi Serpa et al 2015 ENF1_153_0409.pdf (827.99 [Ko])
Etat: Public
Version: Final published version
Licence: Non spécifiée
ID Serval
serval:BIB_CBE8CD1DDA7F
Type
Article: article d'un périodique ou d'un magazine.
Collection
Publications
Titre
Impact of the post-traumatic stress linked to domestic violence on parenting: Empirical data and clinical applications,Impact du stress post-traumatique lié à la violence domestique sur la parentalité : Données empiriques et applications cliniques
Périodique
Enfance
Auteur⸱e⸱s
Schechter Daniel S
Statut éditorial
Publié
Date de publication
2015
Peer-reviewed
Oui
Langue
français
Résumé
Les mères présentant un état de stress post-traumatique (ESPT) associé à la
violence interpersonnelle peuvent expérimenter les manifestations de détresse
et/ou d’impuissance de leur jeune enfant comme un déclencheur de leur stress
post-traumatique. Cette hypothèse a été testée dans deux études en recrutant
des mères et de jeunes enfants (12–42 mois). Les sujets sont intégrés dans un
protocole vidéoscopé incluant plusieurs entretiens, un paradigme d’observation
des interactions mère-enfant et une séance d’intervention psychothérapeutique
expérimentale en feedback vidéo (Clinician Assisted Videofeedback Exposure Session
:
CAVES). Pour un sous-échantillon de sujets, une étude de neuro-imagerie
fonctionnelle a été menée dans laquelle sont présentés aux mères des extraits
vidéos montrant leur enfant et des enfants inconnus dans un moment de
séparation et un moment de jeu mère-enfant. À la fin de l’examen IRM, il
est demandé aux mères d’évaluer l’intensité du stress qu’elles ont éprouvé en
regardant les images. Les mères avec un ESPT associé à la violence se disent
significativement plus stressées que les mères contrôle quand elles regardent leur
propre enfant ou un enfant inconnu durant le moment de séparation. Le stress
parental est corrélé avec la sévérité de l’ESPT maternel et avec la diminution
de la disponibilité maternelle à l’attention conjointe avec l’enfant. Dans les
deux études, l’analyse de neuro-imagerie fonctionnelle met en évidence chez les
mères traumatisées moins d’activité cérébrale dans le cortex préfrontal médian.
L’article illustre comment la technique du CAVES cible la propre dérégulation
émotionnelle des mères traumatisées face à la détresse et à l’impuissance de
l’enfant et comment la capacité maternel
Financement(s)
Fonds national suisse
Création de la notice
19/11/2020 16:22
Dernière modification de la notice
20/11/2020 6:26
Données d'usage