Activité physique, indice de masse corporelle, masse graisseuse par impédance: lequel de ces facteurs est le plus associé au risque cardiovasculaire pour nos patients?

Détails

Ressource 1Télécharger: BIB_C3E4DE451B2F.P001.pdf (1743.18 [Ko])
Etat: Public
Version: Après imprimatur
ID Serval
serval:BIB_C3E4DE451B2F
Type
Mémoire
Sous-type
(Mémoire de) maîtrise (master)
Collection
Publications
Institution
Titre
Activité physique, indice de masse corporelle, masse graisseuse par impédance: lequel de ces facteurs est le plus associé au risque cardiovasculaire pour nos patients?
Auteur⸱e⸱s
SPRENG L.
Directeur⸱rice⸱s
NANCHEN D.
Codirecteur⸱rice⸱s
CORNUZ J.
Détails de l'institution
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Statut éditorial
Acceptée
Date de publication
2015
Langue
français
Nombre de pages
26
Résumé
Contexte: Les maladies cardiovasculaires représentent la première cause de mortalité en Suisse et dans le reste du monde depuis des années. Pourtant, elles sont le plus souvent causées par des facteurs de risque évitables et modifiables comme le tabac, l'inactivité physique, le surpoids, le stress, etc. Un dépistage est recommandé dès l'âge de 40 ans et chaque 5 ans chez toutes personnes asymptomatiques afin de pouvoir traiter au plus vite l'apparition d'un nouveau facteur de risque et ainsi diminuer le taux de mortalité lié à ces maladies cardiovasculaires.
But et objectifs : Vue les conséquences des maladies cardiovasculaires, il paraît primordial de dépister au mieux et le plus tôt possible les facteurs de risque chez les patients, pour une meilleure prise en charge, avant même que des symptômes n'apparaissent. Pour se faire, nous nous demandons alors quel serait le facteur, entre l'indice de masse corporelle, la masse graisseuse par impédance et l'activité physique, le plus associé au risque cardiovasculaire chez des patients à bas risque désirant faire un dépistage.
Méthodologie : 54 participants en excellente santé et travaillant à la Policlinique Médicale Universitaire de Lausanne effectuent tout d'abord un bilan de santé sanguin effectué par les Ligues de la Santé. A partir de ces données, nous avons pu calculer leur score de risque du GSLA ainsi que leur IMC. Puis, ils ont rempli un questionnaire sur leur activité physique dans le cadre du travail, des déplacements et des loisirs. Pour terminer, nous avons mesuré leur composition corporelle par bio- impédance électrique afin de connaître leur taux de graisse corporelle entre autre.
Résultats : Dans cette population à bas risque cardiovasculaire, seul l'IMC aurait une influence sur le score de risque cardiovasculaire du GSLA et sur sa perception des risques et inquiétudes face au développement de maladies cardiovasculaires.
Conclusion : Il serait intéressant de donner plus d'importance à l'IMC lors des dépistages de maladies cardiovasculaires dans les populations sans facteur de risque.
Mots-clé
Risque, cardiovasculaire, prévention, sport, IMC, bio-impédance
Création de la notice
01/09/2016 8:46
Dernière modification de la notice
20/08/2019 15:39
Données d'usage