Les défis du passeport biologique: du prélèvement à l’interprétation

Détails

Ressource 1Télécharger: 3-2016_5_Robinson.pdf (195.00 [Ko])
Etat: Public
Version: Final published version
ID Serval
serval:BIB_9B26DCD65162
Type
Article: article d'un périodique ou d'un magazine.
Collection
Publications
Institution
Titre
Les défis du passeport biologique: du prélèvement à l’interprétation
Périodique
Swiss Sports & Exercise Medicine
Auteur⸱e⸱s
Robinson N., Baume N.
ISSN
2297-8712
ISSN-L
2297-8712
Statut éditorial
Publié
Date de publication
30/06/2016
Peer-reviewed
Oui
Volume
64
Numéro
3
Pages
23-28
Langue
français
Résumé
L’Agence Mondiale Antidopage a officiellement lancé le passeport biologique en 2008. Le premier module validé
pour lutter contre l’érythropoïétine (EPO) et la transfusion sanguine fut le module sanguin. Il a été très efficace pour
attraper des athlètes dopés, et il a particulièrement réduit la prévalence du dopage sanguin. On ne sait pas si les athlètes
ont arrêté le dopage ou se sont adaptés et prennent des micros doses d’EPO ou se transfusent de petits volumes de sang.
Plus récemment, le module stéroïdien a été mis en place, mais jusqu’à présent, le nombre de cas de passeports urinaires atypiques a été très faible. L’une des raisons évoquées semble être le manque de standardisation des conditions
pré-analytiques et analytiques. Ceci a pour effet d’accroître considérablement la variabilité intra-individuelle et diminuer
significativement la sensibilité du modèle adaptatif. Des ressources doivent être investies pour améliorer le système
actuel et empêcher ainsi les athlètes d’abuser de la testostérone et des composés apparentés.
Mots-clé
Passeport biologique, Harmonisation, Interprétation, Module sanguin, Module urinaire
Création de la notice
15/08/2018 8:35
Dernière modification de la notice
20/08/2019 16:02
Données d'usage