Timing optimal et place de l’échographie dans le suivi après interruption médicamenteuse de grossesse d’âge gestationnel moins de 9 semaines
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ID Serval
serval:BIB_9B1B48506B2A
Type
Mémoire
Sous-type
(Mémoire de) maîtrise (master)
Collection
Publications
Institution
Titre
Timing optimal et place de l’échographie dans le suivi après interruption médicamenteuse de grossesse d’âge gestationnel moins de 9 semaines
Directeur⸱rice⸱s
RENTERIA S.-C.
Codirecteur⸱rice⸱s
MOSER N.
Détails de l'institution
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Statut éditorial
Acceptée
Date de publication
2017
Langue
français
Nombre de pages
34
Résumé
En Suisse, les interruptions de grossesse (IG) médicamenteuses se réalisent par administration
per os de Mifepristone (anti progestatif) suivi de Misoprostol (prostaglandine) depuis fin 1999
et sont une alternative de choix à l’intervention chirurgicale, pour les grossesses de moins de
9 semaines d’aménorrhée. (1)
Cette méthode nécessite un suivi médical afin de s’assurer de son succès. De nombreuses
études se sont penchées sur un allègement de la procédure d’IG notamment au niveau du suivi
mais aucune méthode unique n’a prouvé sa supériorité. Une revue de littérature new yorkaise
parue en 2007 (2), réfléchit au moyen d’alléger davantage la procédure d’IG médicamenteuse.
Trois pistes sont explorées : mise en avant de la clinique par rapport à l’échographie (US) de
datation à la première visite, prise du médicament abortif à domicile et préférer le dosage de
βHCG sérique par rapport à l’US de contrôle post-IG.
La Société Suisse de Gynécologie et Obstétrique prévoit dans son avis d’experts No. 15 de
2008 la réalisation d’un US de contrôle 14 jours après l’administration des médicaments
abortifs pour vérifier que l’IG est complète. L’US a pour but d’exclure la persistance d’une
grossesse évolutive et de confirmer l’expulsion complète du matériel trophoblastique.
per os de Mifepristone (anti progestatif) suivi de Misoprostol (prostaglandine) depuis fin 1999
et sont une alternative de choix à l’intervention chirurgicale, pour les grossesses de moins de
9 semaines d’aménorrhée. (1)
Cette méthode nécessite un suivi médical afin de s’assurer de son succès. De nombreuses
études se sont penchées sur un allègement de la procédure d’IG notamment au niveau du suivi
mais aucune méthode unique n’a prouvé sa supériorité. Une revue de littérature new yorkaise
parue en 2007 (2), réfléchit au moyen d’alléger davantage la procédure d’IG médicamenteuse.
Trois pistes sont explorées : mise en avant de la clinique par rapport à l’échographie (US) de
datation à la première visite, prise du médicament abortif à domicile et préférer le dosage de
βHCG sérique par rapport à l’US de contrôle post-IG.
La Société Suisse de Gynécologie et Obstétrique prévoit dans son avis d’experts No. 15 de
2008 la réalisation d’un US de contrôle 14 jours après l’administration des médicaments
abortifs pour vérifier que l’IG est complète. L’US a pour but d’exclure la persistance d’une
grossesse évolutive et de confirmer l’expulsion complète du matériel trophoblastique.
Création de la notice
05/09/2018 14:37
Dernière modification de la notice
08/09/2020 6:10