Résultats cliniques et radiologiques du traitement chirurgical par ostéosynthèse des fractures de cotyle selon la voie d’abord utilisée : STOPPA versus Ilio-inguinale

Détails

Ressource 1 Sous embargo indéterminé.
Accès restreint UNIL
Etat: Public
Version: Après imprimatur
Licence: Non spécifiée
ID Serval
serval:BIB_669DEE7E2853
Type
Mémoire
Sous-type
(Mémoire de) maîtrise (master)
Collection
Publications
Institution
Titre
Résultats cliniques et radiologiques du traitement chirurgical par ostéosynthèse des fractures de cotyle selon la voie d’abord utilisée : STOPPA versus Ilio-inguinale
Auteur⸱e⸱s
PARMIGIANI O.
Directeur⸱rice⸱s
BORENS O.
Codirecteur⸱rice⸱s
STEINMETZ S.
Détails de l'institution
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Statut éditorial
Acceptée
Date de publication
2019
Langue
français
Nombre de pages
21
Résumé
Les fractures de cotyle a suscité un intérêt grandissant dès la deuxième moitié du 20ème siècle
par l’augmentation du trafic automobile et des accidents, qui est encore la cause la plus
fréquente, suivi des chutes des personnes âgées (1)(2)(3)(4)(5)(6).
Ces fractures étaient jusqu’en 1950 que rarement traitées de manière chirurgicale avec comme
conséquence une mauvaise congruence articulaire, menant à l’arthrose post-traumatique (7).
Dans ce contexte, l’objectif a été d’améliorer cette congruence articulaire par une prise en
charge chirurgicale débutée par Judet et Letournel dès 1957 qui ont codifié ces fractures sur la
base de caractéristiques radiologiques et de résultats chirurgicaux (8). Grâce à cette
classification, il est possible d’optimiser la qualité de la réduction de la surface articulaire en
fonction de la voie d’abord chirurgicale choisie.
Ces derniers proposent une division de l’os iliaque en 2 colonnes, une antérieure et une
postérieure, séparées par le « no man’s land ». La colonne antérieure, appelée ilio-pubienne, est
constituée de l’ilion antérieur, du mur antérieur, de l’éminence ilio-pectinée et de la branche
pubienne. La colonne postérieure, appelée aussi ilio-ischiatique, comprend la surface
quadrilatère, le mur postérieur, la tubérosité ischiatique ainsi que la petite et la grande
échancrure sciatique.
Judet et Letournel les ont classées en deux grandes catégories : les fractures dites
élémentaires/simples et associées/complexes (figure 1).
Les fractures élémentaires/simples regroupent cinq formes : les fractures de la paroi postérieure,
les fractures de la colonne postérieure, les fractures de la paroi antérieure, les fractures de la
colonne antérieure et les fractures transversales pures.
Les fractures associées/complexes, résultat de l’association d’au moins deux formes simples,
sont : les fractures en « T », les fractures de la colonne postérieure et de la paroi postérieure, les
fractures transversales et de la paroi postérieure, les fractures de la colonne antérieure associée
à une hémitransversale postérieure, les fractures des deux colonnes.
Mots-clé
cotyle, fracture, STOPPA, ilio-inguinale, ostéosynthèse
Création de la notice
07/09/2020 14:20
Dernière modification de la notice
04/02/2021 7:26
Données d'usage