Les cases à l'écran. Bande dessinée et cinéma en dialogue
Détails
ID Serval
serval:BIB_3658F4FDF3BB
Type
Livre: un livre et son éditeur.
Collection
Publications
Institution
Titre
Les cases à l'écran. Bande dessinée et cinéma en dialogue
Editeur
Georg
Lieu d'édition
Genève
ISBN
978-2-8257-0961-0
Statut éditorial
Publié
Date de publication
09/2010
Langue
français
Nombre de pages
360
Notes
Collection L'Equinoxe
Résumé
La vogue récente d'adaptations cinématographiques de comic books (Spider-Man et autres Iron-Man) relance aujourd'hui la question des parentés entre bande dessinée et cinéma. Le présent ouvrage esquisse une histoire croisée de ces deux moyens d'expression nés à la fin du XIXe siècle à travers une série d'études inédites dont l'ambition est d'offrir au bédéphile - mais aussi à tout lecteur curieux du « 9e art » - un autre regard sur la BD, considérée ici comme un lieu où se réfléchit le cinéma.
Au gré de citations, de références indirectes, de procédés figuratifs et narratifs ou de transferts de toutes sortes, un grand nombre de motifs et de genres sont abordés comme autant de pistes pour mieux comprendre les liens qui se tissent entre le cinéma et diverses formes de bande dessinée, qu'il s'agisse des comic strips des débuts, de la BD franco-belge classique, de certaines figures d'auteurs (Crepax, Tardi ou Chabouté) ou d'un roman graphique scénarisé par Moore. Une attention toute particulière est accordée à la façon dont les discours sur la BD ont été façonnés par la théorie du cinéma et, inversement, à la manière dont la bande dessinée raconte l'histoire du 7e art.
L'analyse discursive n'est pas en reste : planches et plans sont examinés dans une perspective comparatiste à la lumière de différentes approches dont la mise en oeuvre amorce un renouvellement du savoir quant aux origines, à l'évolution et à l'impact socioculturel de la bande dessinée. Ces études permettent d'approfondir l'étude des moyens spécifiques d'expression en BD, art du récit qui parfois s'inspire de son aîné le cinéma (en termes de légitimation culturelle), parfois développe des solutions propres qui ont peut-être été jusqu'ici trop hâtivement appréhendées à l'aune du modèle cinématographique. L'ouvrage tente à cet égard de cartographier les points de jonction, les frontières et les différences intrinsèques, fournissant ainsi un apport à la réflexion contemporaine sur l'intermédialité.
Au gré de citations, de références indirectes, de procédés figuratifs et narratifs ou de transferts de toutes sortes, un grand nombre de motifs et de genres sont abordés comme autant de pistes pour mieux comprendre les liens qui se tissent entre le cinéma et diverses formes de bande dessinée, qu'il s'agisse des comic strips des débuts, de la BD franco-belge classique, de certaines figures d'auteurs (Crepax, Tardi ou Chabouté) ou d'un roman graphique scénarisé par Moore. Une attention toute particulière est accordée à la façon dont les discours sur la BD ont été façonnés par la théorie du cinéma et, inversement, à la manière dont la bande dessinée raconte l'histoire du 7e art.
L'analyse discursive n'est pas en reste : planches et plans sont examinés dans une perspective comparatiste à la lumière de différentes approches dont la mise en oeuvre amorce un renouvellement du savoir quant aux origines, à l'évolution et à l'impact socioculturel de la bande dessinée. Ces études permettent d'approfondir l'étude des moyens spécifiques d'expression en BD, art du récit qui parfois s'inspire de son aîné le cinéma (en termes de légitimation culturelle), parfois développe des solutions propres qui ont peut-être été jusqu'ici trop hâtivement appréhendées à l'aune du modèle cinématographique. L'ouvrage tente à cet égard de cartographier les points de jonction, les frontières et les différences intrinsèques, fournissant ainsi un apport à la réflexion contemporaine sur l'intermédialité.
Mots-clé
bande dessinée, cinéma, narration, histoire culturelle, intermédialité
Création de la notice
13/09/2010 10:58
Dernière modification de la notice
20/08/2019 13:24