Older peoples experience of the partial lockdown during the COVID-19 pandemic in Switzerland: a cross-sectional study

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ID Serval
serval:BIB_32D770851EA1
Type
Thèse: thèse de doctorat.
Collection
Publications
Institution
Titre
Older peoples experience of the partial lockdown during the COVID-19 pandemic in Switzerland: a cross-sectional study
Auteur⸱e⸱s
MÄRKI-GERMANN Daphné
Directeur⸱rice⸱s
BÜLA Christophe
Codirecteur⸱rice⸱s
HENCHOZ Yves
Détails de l'institution
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Statut éditorial
Acceptée
Date de publication
2023
Langue
anglais
Résumé
Objectifs Cette étude visait à évaluer l’expérience de la période de semi-confinement pendant la première vague de la pandémie de COVID-19 (16 mars au 11 mai 2020) à Lausanne, Suisse.
Participants et lieu Participants (n=2642) de l’étude « Lausanne cohorte Lc65+ » vivant à domicile en 2020, âgés de 71 à 86 ans.
Design et outcome Cette étude transversale, intégrée dans l’étude longitudinale Lc65+, s’est basée sur un questionnaire spécifique COVID-19 envoyé le 17 avril 2020 afin d’évaluer le vécu des seniors durant la période de semi-confinement. Des modèles de régression logistique multinomiaux ont été développés pour déterminer les caractéristiques socio- démographiques, d’environnement de vie, de santé, et sociales associées au vécu positif, négatif, ou neutre du semi-confinement.
Résultats Parmi les 2’642 participants, 67.8% ont décrit le semi-confinement comme “plutôt difficile” (groupe de référence), 21.5% comme “pas du tout difficile” (vécu positif), et 10.7% comme “très ou extrêmement difficile” (vécu négatif). Le risque relatif de considérer l’expérience comme positive était augmenté chez les personnes vivant seules (RRR=1.93, [95%CI] 1.52–2.46) ou dans une maison individuelle (RRR=1.49, 1.03–2.16), et réduit chez celles rapportant une peur de chuter (RRR=0.68, 0.54–0.86), des difficultés fonctionnelles (RRR=0.78, 0.61–0.99), un sentiment de solitude (RRR=0.67, 0.49–0.91), un manque de familiarité avec les technologies de communication (RRR=0.69, 0.52–0.91), un soutien social (RRR=0.71, 0.50–0.93), une participation préalable à des activités en groupe (RRR=0.74, 0.59– 0.92), et de sexe féminin (RRR=0.75, 0.59–0.95). Le risque relatif de considérer l’expérience comme négative était plus élevé chez les personnes rapportant une peur de chuter (RRR=1.52, 1.07–2.15), et plus basse chez celles bénéficiant d’une terrasse ou d’un jardin (RRR=0.66, 0.44–0.99), et possédant un chien (RRR=0.32, 0.11–0.90).
Conclusions Un participant sur dix seulement qualifie l’expérience du semi-confinement comme très ou extrêmement difficile. Des interventions spécifiques ciblant les facteurs de vulnérabilité, comme la peur de chuter, pourraient réduire l’impact d’un semi-confinement si des situations similaires devaient se présenter dans le futur.
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Objectives This study aimed to evaluate older people’s experience of a COVID-19 partial lockdown (16 March–11 May 2020) in Lausanne, Switzerland.
Setting and participants Community-dwelling participants of the Lausanne cohort (Lc65+) in 2020, aged 71–86 years (n=2642).
Design and outcome This cross-sectional study was nested within the Lc65+ longitudinal study. A specific COVID-19 questionnaire was sent on 17 April 2020
to evaluate participants’ experience of the lockdown (outcome). Multinomial logistic regression models were used to determine the sociodemographic, living environment, health and social factors associated. Results Out of 2642 participants, 67.8% described the lockdown as ‘somewhat’ difficult (reference group), 21.5% as ‘not at all’ difficult (positive) and 10.7% as ‘very or extremely’ difficult (negative). The relative risk
of a positive experience was higher in participants living alone (relative risk ratio, RRR=1.93, 95% CI 1.52 to 2.46) or in a house (RRR=1.49, 1.03 to 2.16); lower in those who reported fear of falling (RRR=0.68, 0.54 to 0.86), functional difficulties (RRR=0.78, 0.61 to 0.99), feeling
of loneliness (RRR=0.67, 0.49 to 0.91), unfamiliarity with communication technologies (RRR=0.69, 0.52 to 0.91), usual social support (RRR=0.71, 0.50 to 0.93), previous participation in group activities (RRR=0.74, 0.59 to 0.92) and among women (RRR=0.75, 0.59 to 0.95). The relative risk of a negative experience was higher in participants with fear of falling (RRR=1.52, 1.07 to 2.15), and lower in those who had a terrace/garden (RRR=0.66, 0.44 to 0.99) and owned a dog (RRR=0.32, 0.11 to 0.90).
Conclusions Only one in 10 participants experienced the lockdown as very or extremely difficult. Specific interventions targeting vulnerability factors, such as fear of falling, could lessen the impact of any future similar situation
Création de la notice
06/09/2023 10:56
Dernière modification de la notice
07/11/2023 9:16
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