Les récepteurs nucléaires PPARs (Peroxisome Proliferator Activated Receptors) : Trois isotypes pour de multiples fonctions.

Détails

ID Serval
serval:BIB_20530
Type
Article: article d'un périodique ou d'un magazine.
Collection
Publications
Institution
Titre
Les récepteurs nucléaires PPARs (Peroxisome Proliferator Activated Receptors) : Trois isotypes pour de multiples fonctions.
Périodique
Médecine Thérapeutique Endocinologie et Reproduction
Auteur⸱e⸱s
Rieusset J., Wahli W., Desvergne B.
ISSN
1295-9359
Statut éditorial
Publié
Date de publication
2001
Volume
3
Pages
4-12
Langue
français
Résumé
Les récepteurs nucléaires font partie d'une superfamille de facteurs de transcription qui regroupe en particulier les récepteurs des hormones stéroïdes et thyroïdiennes, de la vitamine D3 et des rétinoïdes [1]. Ces facteurs de transcription sont impliqués dans de nombreuses fonctions cellulaires comme le développement embryonnaire, la différenciation cellulaire et le contrôle du métabolisme. Ce sont des protéines importantes en recherche médicale puisque un grand nombre d'entre elles sont impliquées dans des pathologies telles que le cancer, le diabète ou les syndromes de résistance aux hormones. À ce jour, cette superfamille comprend différents membres, dont l'activité est modulée par la présence de ligands spécifiques. Néanmoins, pour nombre d'entre eux, aucun ligand endogène spécifique n'a encore été identifié. Ceux-là sont appelés récepteurs orphelins. Orphelins lors de leur découverte il y a dix ans, les PPARs (Peroxisome proliferator-activated receptors) ont été particulièrement étudiés depuis, permettant de leur attribuer des ligands et des fonctions qui les placent au coeur de nombreuses régulations métaboliques.
Mots-clé
PPARs, acide gras, métabolisme, récepteurs nucléaires, insulinorésistance.
Création de la notice
19/11/2007 9:43
Dernière modification de la notice
20/08/2019 12:56
Données d'usage