Analyse de biomarqueurs de la latence VIH
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ID Serval
serval:BIB_1EDF1C2F00E1
Type
Mémoire
Sous-type
(Mémoire de) maîtrise (master)
Collection
Publications
Institution
Titre
Analyse de biomarqueurs de la latence VIH
Directeur⸱rice⸱s
CIUFFI A.
Codirecteur⸱rice⸱s
MEYLAN P.
Détails de l'institution
Université de Lausanne, Faculté de biologie et médecine
Statut éditorial
Acceptée
Date de publication
2015
Langue
français
Nombre de pages
27
Résumé
1. Introduction
1.1 Epidémiologie
Depuis l'identification du syndrome de l'immunodéficience acquise (SIDA) en 1981 et par la suite de la découverte du virus qui en est la cause, le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH), la recherche médicale n'a cessé d'essayer d'enrayer la pandémie. En 2014, les données épidémiologiques révèlent qu'environ 36,9 millions de personnes sont infectées dans le monde et que 1,2 millions de personnes en décèdent chaque année. L'incidence de nouvelles personnes infectées a notablement chuté depuis 2000 mais se chiffre encore à 2 millions de primo-infections en 2014 (1,2).
Depuis l'arrivée sur le marché de la thérapie antirétrovirale en 1997, un nombre croissant de molécules a été développé avec des mécanismes d'action variés pour arriver actuellement à plus de 20 molécules disponibles qui peuvent être utilisées en combinaison (3). Malgré ceci, en 2015 seulement 15 des 36,9 millions de personnes infectées par le VIH ont efficacement accès à ces médicaments, principalement les malades vivant dans les pays développés (2). De plus, ces médicaments ne guérissent pas de la maladie mais inhibent la réplication virale et empêchent sa propagation. Certaines comorbidités liées à l'infection par le virus, comme une augmentation du risque cardiovasculaire, sont toujours présentes malgré un traitement bien conduit (4,5).
1.1 Epidémiologie
Depuis l'identification du syndrome de l'immunodéficience acquise (SIDA) en 1981 et par la suite de la découverte du virus qui en est la cause, le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH), la recherche médicale n'a cessé d'essayer d'enrayer la pandémie. En 2014, les données épidémiologiques révèlent qu'environ 36,9 millions de personnes sont infectées dans le monde et que 1,2 millions de personnes en décèdent chaque année. L'incidence de nouvelles personnes infectées a notablement chuté depuis 2000 mais se chiffre encore à 2 millions de primo-infections en 2014 (1,2).
Depuis l'arrivée sur le marché de la thérapie antirétrovirale en 1997, un nombre croissant de molécules a été développé avec des mécanismes d'action variés pour arriver actuellement à plus de 20 molécules disponibles qui peuvent être utilisées en combinaison (3). Malgré ceci, en 2015 seulement 15 des 36,9 millions de personnes infectées par le VIH ont efficacement accès à ces médicaments, principalement les malades vivant dans les pays développés (2). De plus, ces médicaments ne guérissent pas de la maladie mais inhibent la réplication virale et empêchent sa propagation. Certaines comorbidités liées à l'infection par le virus, comme une augmentation du risque cardiovasculaire, sont toujours présentes malgré un traitement bien conduit (4,5).
Mots-clé
HIV, latency, biomarker
Création de la notice
31/08/2016 14:06
Dernière modification de la notice
20/08/2019 12:54