Effet d'une épreuve cycliste de 140 km sur la puissance maximale anaérobie
Détails
ID Serval
serval:BIB_149847F98D30
Type
Article: article d'un périodique ou d'un magazine.
Collection
Publications
Institution
Titre
Effet d'une épreuve cycliste de 140 km sur la puissance maximale anaérobie
Périodique
Science & Sports
ISSN
0765-1597
Statut éditorial
Publié
Date de publication
2002
Volume
17
Numéro
5
Pages
260-262
Langue
anglais
Résumé
Objectifs - Mesurer les effets d'une épreuve cycliste de 140 km sur la puissance maximale anaérobie.
Synthèse des faits - Seize cyclistes ont effectué un test force-vitesse sur ergocycle Monark avant, puis une heure après la fin d'une épreuve cycliste. La puissance maximale (582,1 ± 82,2 W versus 579,5 ± 95,8 W) et la force associée à la puissance maximale (64,4 ± 5,0 N versus 63,2 ± 5,0 N) n'étaient pas significativement différentes avant et après l'épreuve cycliste.
Conclusions - Le type d'exercice à dominante concentrique et la durée de la récupération entre la fin de l'épreuve et le test ont permis aux sujets de développer les mêmes puissances maximales anaérobies, probablement parce qu'ils ont recouvré leurs stocks intramusculaires de phosphocréatine.
Abstract
Aims - Define the effects of long cycling exercise on the maximal anaerobic power (Wmax).
Methods and results - Sixteen cyclists performed a force-velocity on a friction-loaded cycle ergometer prior and one hour after the end of a 140 km cycling race Wmax (582.1 ± 82.2 W versus 579.5 ± 95.8 W) and the force associated to Wmax (64.4 ± 5.0 N versus 63.2 ± 5 N) were not different between the two measures.
Conclusions - The type of muscular contraction, essentially concentric in cycling, and the duration of the recovery between the end of the race and the test allowed the subjects to reinstate their maximal anaerobic power, and probably their intramuscular stock of phosphocreatine.
Synthèse des faits - Seize cyclistes ont effectué un test force-vitesse sur ergocycle Monark avant, puis une heure après la fin d'une épreuve cycliste. La puissance maximale (582,1 ± 82,2 W versus 579,5 ± 95,8 W) et la force associée à la puissance maximale (64,4 ± 5,0 N versus 63,2 ± 5,0 N) n'étaient pas significativement différentes avant et après l'épreuve cycliste.
Conclusions - Le type d'exercice à dominante concentrique et la durée de la récupération entre la fin de l'épreuve et le test ont permis aux sujets de développer les mêmes puissances maximales anaérobies, probablement parce qu'ils ont recouvré leurs stocks intramusculaires de phosphocréatine.
Abstract
Aims - Define the effects of long cycling exercise on the maximal anaerobic power (Wmax).
Methods and results - Sixteen cyclists performed a force-velocity on a friction-loaded cycle ergometer prior and one hour after the end of a 140 km cycling race Wmax (582.1 ± 82.2 W versus 579.5 ± 95.8 W) and the force associated to Wmax (64.4 ± 5.0 N versus 63.2 ± 5 N) were not different between the two measures.
Conclusions - The type of muscular contraction, essentially concentric in cycling, and the duration of the recovery between the end of the race and the test allowed the subjects to reinstate their maximal anaerobic power, and probably their intramuscular stock of phosphocreatine.
Mots-clé
Cyclisme, Puissance maximale anaérobie, Relation force-vitesse, Cycling, Maximal anaerobic power, Force-velocity
Web of science
Création de la notice
25/09/2008 8:01
Dernière modification de la notice
20/08/2019 12:43